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accouchement & la suite
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POSITIONS D'ALLAITEMENT: VIDÉO DÉMONSTRATION ICI
PRISE DE SEIN POUR L'ALLAITEMENT: VIDÉO DÉMONSTRATION ICI
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VIDÉO : OSTÉOPATHIE POUR ASSURER UN BON DÉPART, DÉTENDU, AVEC UN/OSTÉOPATHE D.O.
Compression du sein dans tous les cas.
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Consulter une chiropractrice pédiatrique pour un bilan de l'alignement et fonction des structures.
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Les tensions à l'intérieure seront invisible à l'oeil nu. La chiropraxie pédiatrique permet la détection des tensions, de la mal alignement et la mobilisation des structures par les mains entrainées et compétentes.

BON DÉPART DE L'ALLAITEMENT. DE DR JACK NEWMAN.

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L'allaitement maternel : partir du bon pied

Allaiter est la façon naturelle et physiologique de nourrir les bébés et les jeunes enfants, et le lait humain est spécifiquement destiné aux bébés humains. Les laits de formule préparés à partir de lait de vache ou de soja (pour la plupart, même les « designer ») ne présentent que des similitudes superficielles avec le lait humain, et les publicités qui les présentent autrement sont trompeuses. Allaiter devrait être facile, et exempt de difficultés pour la plupart des mères. Un bon démarrage donne à l'allaitement toutes les chances d'être une expérience heureuse pour la mère comme pour son bébé.

La grande majorité des mères sont parfaitement capables d'allaiter leur bébé exclusivement pendant environ 6 mois. En fait, la plupart des mères produisent plus que suffisamment de lait. Malheureusement, des routines hospitalières dépassées et fondées sur l'alimentation artificielle sont encore en vigueur dans trop d’établissements de santé et rendent pour certaines mères et leur bébé l'allaitement difficile, voire impossible. Pour que l'allaitement démarre correctement, les premiers jours peuvent être cruciaux. Cependant, même avec un très mauvais départ, beaucoup de mères et de bébés s’en tirent.

L'astuce pour bien allaiter est de faire en sorte que le bébé prenne bien le sein. Un bébé qui prend correctement le sein reçoit correctement du lait. Un bébé qui ne prend pas bien le sein a des difficultés à recevoir suffisamment de lait, surtout si la sécrétion lactée de la mère est faible. Une mauvaise prise du sein, c'est comme donner au bébé un biberon avec une tétine dont le trou est trop petit; le biberon est plein de lait, mais le bébé n'en prendra pas beaucoup. Quand un bébé prend mal le sein, cela peut également causer des douleurs aux mamelons de sa mère. Et si le bébé ne reçoit pas suffisamment de lait, il restera au sein très longtemps, aggravant ainsi la douleur. Malheureusement, n'importe qui peut dire que le bébé a une bonne prise, même si c'est faux.  Trop de personnes censément compétentes ne savent tout simplement pas ce qu'est une bonne prise.  Voici quelques moyens qui contribuent à faciliter l'allaitement :

1. Une bonne prise du sein est cruciale pour le succès de l'allaitement. C'est la clé d'un allaitement réussi. Malheureusement, de nombreuses mères reçoivent «l'aide» de personnes qui ne savent pas comment évaluer une bonne mise au sein. Si l’on vous dit que votre bébé de deux jours tète correctement alors que vous avez les mamelons très douloureux, soyez sceptique, et demandez l'aide d'une personne compétente. Avant de quitter l’hôpital, vous devriez avoir eu la démonstration que votre bébé tète correctement, et qu'il reçoit véritablement du lait de vos seins; le personnel devrait vérifier que vous savez comment vous assurer qu'il en reçoit suffisamment (type de succion ouverture-pause-fermeture). Visitez  HYPERLINK "http://www.thebirthden.com/Newman.html" www.mamancherie.ca/fr/info/articles_dr_newman.htm pour des vidéos démontrant une bonne mise au sein (ainsi que d’autres vidéos). Si vous et votre bébé quittez l’hôpital sans savoir cela, demandez rapidement l'aide d'une personne expérimentée (voir le feuillet « Effectuer la mise au sein »). Certaines mères se font dire par le personnel hospitalier que si l’allaitement est douloureux, la prise du sein est mauvaise (habituellement vrai), et on doit alors retirer le bébé du sein et recommencer. Ce n’est pas une bonne idée. La douleur s’atténue habituellement, et la mise au sein devrait être corrigée sur l’autre sein ou à la prochaine tétée. Retirer le bébé du sein et répéter encore et encore la mise au sein ne fait que multiplier la douleur et le dommage aux mamelons.

2. Le bébé devrait être mis au sein immédiatement après la naissance. La grande majorité des nouveaux-nés peuvent être mis au sein dans les instants suivant la naissance. En fait, des recherches ont démontré que, lorsqu'on leur en laisse la possibilité, les bébés de quelques minutes seulement rampent sur le ventre de leur mère jusqu'au sein, et commencent à téter de leur propre initiative. Ce processus peut prendre une heure ou plus, mais durant ce temps la mère et le bébé doivent rester ensemble pour commencer à s’apprivoiser. Les bébés qui « s'auto-attachent » ainsi courent moins de risque de connaître des problèmes d'allaitement. Ce processus ne demande aucun effort de la part de la mère, et le prétexte de la trop grande fatigue de la mère due à l'accouchement, souvent fourni pour ne pas permettre cela, est purement et simplement un non-sens. En fait, des études ont également montré que le contact peau à peau entre une mère et son bébé garde le bébé au chaud aussi bien qu'une couveuse (voir la section sur le contact peau-à-peau). Soit dit en passant, durant ce temps, plusieurs bébés ne prendront pas le sein et ne tèteront pas. En général ce n’est pas un problème et cela ne nuira pas d’attendre que le bébé soit prêt à aller au sein. Le contact peau-à-peau est bon pour le bébé et la mère même si le bébé ne tète pas.

3. La mère et le bébé devraient cohabiter. Il n'y a absolument aucune raison médicale pour séparer les mamans et les bébés en bonne santé, même pour de courtes périodes.
Les hôpitaux qui ont pour habitude de séparer les mères et les bébés après la naissance sont complètement dépassés, et les raisons invoquées pour ce faire démontrent aux parents qui contrôle la situation (l'hôpital) et qui ne la contrôle pas (les parents). Souvent d'autres fausses raisons sont données. Par exemple, une raison souvent donnée est que le bébé a expulsé du méconium avant la naissance. Un bébé qui a expulsé du méconium et qui se porte bien quelques minutes après la naissance se portera bien et n'a pas besoin de passer plusieurs heures « sous observation » dans une couveuse.
Il n'y a aucune preuve que les mères qui sont séparées de leur enfant sont plus reposées. Au contraire, elles sont plus reposées et moins stressées quand elles ont leur bébé avec elles. Mères et bébés apprennent comment dormir au même rythme. Ainsi, quand le bébé commence à se réveiller pour une tétée, la mère commence également à se réveiller naturellement. Ce n'est pas aussi fatiguant pour la mère que d'être réveillée en phase de sommeil profond, comme c'est le cas quand le bébé se réveille loin d'elle. Si l’on montre à la mère comment allaiter son bébé couchée, la mère sera plus reposée.
Le bébé montre bien longtemps avant de pleurer qu'il a envie de téter. Par exemple, sa respiration peut changer. Ou encore, il peut commencer à s'étirer. La mère, alors dans un sommeil léger, va se réveiller, son lait va commencer à couler et le bébé sera calme et heureux de téter. Un bébé qui aura pleuré pendant un certain temps avant d'être mis au sein pourra refuser de téter même s'il est affamé. Mères et bébés devraient être encouragés à dormir côte à côte à l’hôpital. C'est un excellent moyen pour la mère de se reposer quand le bébé tète. L'allaitement devrait être relaxant, et non fatiguant.

4. Des tétines ne devraient pas être données au bébé. Il semble y avoir une controverse au sujet de l’existence du phénomène de la «confusion sein-tétine». Les bébés adopteront la méthode qui leur donnera le flot de liquide le plus rapide, et pourraient refuser les autres. Ainsi, les premiers jours, quand la mère normalement ne produit que peu de lait (comme prévu par la nature), et que le bébé prend un biberon (comme prévu par la nature?) avec lequel il obtient un flot de lait rapide, il risque de préférer la méthode au flot rapide. Nul besoin d'être un scientifique génial pour comprendre ce qu'aucun des pourtant nombreux professionnels de la santé qui sont censés vous aider ne semblent capables de concevoir. Notez que ce n’est pas le bébé qui est confus. La confusion sein-tétine n'a pas comme seule conséquence possible le refus du sein par le bébé, mais englobe une variété de problèmes, incluant le bébé qui ne prend pas le sein aussi bien qu'il pourrait le faire et ainsi, il ne reçoit pas assez de lait et/ou la mère a les mamelons douloureux. Le simple fait qu'un bébé puisse «prendre les deux» ne signifie pas que le biberon n'a pas d'effet négatif. Puisque aujourd'hui il existe des alternatives possibles quand le bébé a besoin de suppléments (voir articles n° 5 «Utilisation d'un DAL» et n° 8 «Alimentation au doigt»), pourquoi utiliser une tétine artificielle ?

5. Pas de restriction quant à la durée ou la fréquence des tétées. Un bébé qui tète correctement ne restera pas au sein des heures durant pour une tétée. Si c'est le cas, c'est généralement qu'il ne prend pas correctement le sein et ne reçoit pas tout le lait qui est disponible. Trouvez de l'aide pour évaluer la succion du bébé et utilisez la compression des seins pour que le bébé reçoive plus de lait (article n° 15, «La Compression du sein»). La compression est très utile durant les premiers jours pour favoriser l’écoulement du colostrum. C'est cela qui aidera, et non l'utilisation d'une tétine ou d'un biberon, ni le fait de mettre le bébé à la pouponnière.

6. Les suppléments d'eau pure, d'eau sucrée ou de lait artificiel sont rarement nécessaires. La plupart des suppléments pourraient être évités si on permettait au bébé de prendre le sein correctement et de recevoir le lait disponible. Si l’on vous dit que le bébé a besoin de suppléments sans que quelqu'un l'ait observé pendant qu'il tète, demandez à recevoir l'aide d'une personne compétente. Il existe de rares indications médicales pour la supplémentation, mais habituellement, les suppléments sont proposés pour la convenance de l'équipe médicale. Si des suppléments doivent être donnés, ils doivent être donnés à priori au sein avec un Dispositif d'Aide à la Lactation (voir article n° 5), pas avec une tasse, ni un compte-gouttes, ni au doigt, ni à la seringue, ni au biberon. Le meilleur supplément est votre propre colostrum. Il peut être mélangé avec 5% d'eau sucrée si vous ne pouvez pas en exprimer beaucoup au début. Les laits artificiels ne sont pratiquement jamais nécessaires durant les premiers jours.

7. Les boîtes de lait gratuites et les documents offerts par leurs producteurs ne sont pas des cadeaux. L'unique objectif de ces «cadeaux» est de faire de vous des utilisateurs de lait artificiel. C'est une technique de marketing très efficace, et de moralité très douteuse. Si vous en recevez de la part d'un professionnel de la santé quel qu'il soit, vous devriez vous interroger sur ses connaissances en matière d'allaitement et sur son niveau d'engagement pour l'allaitement. «Mais j'ai besoin de lait artificiel parce que mon bébé ne reçoit pas assez de mon lait!». Peut-être, mais, plus vraisemblablement, vous n'avez pas reçu une aide efficace et votre bébé ne reçoit  tout simplement pas tout votre lait disponible. Même si vous avez besoin de lait de formule, personne ne devrait vous proposer une marque particulière, ni vous offrir des échantillons. Cherchez une aide efficace. Les échantillons de lait artificiel ne sont pas une aide.

Dans certaines circonstances, il peut être impossible de commencer l'allaitement rapidement. Cependant, la plupart des indications « médicales » (prise de médicaments par la mère, par exemple) ne sont pas de véritables raisons pour arrêter ou retarder l'allaitement, si l’on vous a dit le contraire, vous avez été mal informée. Demandez une aide efficace. Les bébés prématurés peuvent commencer à être allaités beaucoup, beaucoup plus tôt que ce qui est préconisé dans de nombreux services de néonatalogie. En fait, les études ont démontré de façon très définitive qu'il est moins stressant pour un bébé d'être nourri au sein que de recevoir un biberon. Malheureusement, de nombreux professionnels de santé s'occupant de prématurés ne semblent pas être au courant de ce fait.

Questions? (416) 813-5757 (option 3) ou  HYPERLINK "mailto:drjacknewman@sympatico.ca" drjacknewman@sympatico.ca ou mon livre Dr. Jack Newman’s Guide to Breastfeeding

Traduction du feuillet n° 1, « Breastfeeding - Starting Out Right », révisé en janvier 2005 par Jack Newman, MD, FRCPC © 2005
Version française, février 2005, par Stéphanie Dupras, IBCLC, RLC

Peut être copié et diffusé sans autre autorisation,
à condition qu’il ne soit utilisé dans aucun contexte où le Code international de commercialisation des substituts du lait maternel de l’OMS est violé.


LIENS DE LE OMS QUI NOUS SOUTIENNENT DANS VOS DÉMARCHES POUR UN ACCOUCHEMENT RESPECTUEUX

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​TÉMOIGNAGE D'UNE MAMAN QUI S'INFORME!
En faite, mesdames, j'ai trouvé ces sites de Le OMS qui nous soutien dans nos démarches pour mieux accoucher.

Les recommandations de l'Organisation Mondiale de la Santé.  On constate qu'ils recommandent de NE PAS FAIRE les trucs que mon gynéco dit être obligatoires.
http://www.who.int/reproductive-health/publications/French_MSM_96_24/MSM_96_24_chapter6.fr.html
Selon l'OMS, il a tort pour la veine (Catégorie B point 4) et le doppler (Catégorie A point 12).
 
Et ici http://accoucherautrement.free.fr/Soins-mere-nouveau-ne.htm les soins à la mère et au bébé, encore de l'OMS.  Le point 2 de la Catégorie C parle de la vitamine k.  Ils disent aussi encourager le clampage tardif du cordon (catégorie A)
 
J'ai imprimé les documents et je vais lui montrer tout ça à la prochaine visite histoire de lui clouer le bec  !
 
Et en PJ un document sur le clampage tardif ,  j'ai tout imprimé pour lui montrer  !!!
S.


REFUS DE SEIN PENDANT 5 SEMAINES, SUITE AUX MISES AU SEIN MUSCLÉS À LA MATERNITÉ. TÉMOIGNAGE EN ANGLAIS.

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The Problem.
Alyssa and Anna's story.
When I began to write this, shortly after Anna took to the breast, not only did I need to distance myself from an exhausting and unexpected situation, but I was also aware that writing it might help other mothers in a similar situation.
In the little spare time I had during those first weeks, I tried to research the use of a supplemental nursing system for a baby who will not breast feed at all and has to be finger fed (as opposed to being encouraged at the breast with the tubing taped to the nipple). There was literally nothing. Yet in my immediate circle, I knew of at least one other mother who had the same problem. Fortunately, it's not that common a problem, but for those of us who go through it, what a shock!
Throughout all of my preparations for Anna's birth, difficulties with breastfeeding were the farthest things from my mind. I knew I wanted to long term breast feed and assumed it would just happen naturally. HA!
Thierry and I had done all of our preparation for a natural birth: haptonomie, and preparation for pain control through auto-hypnosis (how innocent we were! I'd like to know whether anyone has been capable of hypnotizing themselves while in the throes of contractions...).
My waters break late on a Saturday night. All night long I have regular contractions and am in such a glow of happiness that I can't sleep much between the waves of pain and the excitement. The next day off we go to the clinic where we are told that my cervix isn't even effaced but they have to keep me because my waters have broken. Two more sleepless nights and a multitude of painful but useless contractions later, my labor is induced on Tuesday morning.
But by late afternoon, my cervix is closing up in spite of all the drugs and the baby's heart is suffering so we are off for an emergency caesarian. Oh, the terrible rush of adrenaline and fear! I try to keep calm so as not to transmit my anxiety to Anna. Thierry is by my side and together we greet our new daughter as the medical assistants drop the curtain and she theatrically surges forth, eyes wide open to the world.
Anna spends her first half hour of life in the arms of her Papa, gazing into his eyes. And when I am finally wheeled out of the operating block and into another room, we are all reunited, Thierry and I softly caressing Anna's head as she begins to nurse in spite of my still being almost totally paralyzed and flat on my back. The birth hadn't been what we expected but it simply paled into insignificance next to the joy of meeting our precious little girl.
Eventually I am wheeled back to our room and now begins the nightmare. As my boneless body is flip-flopped, catheter, IV, blood and all, onto my bed, the nurse who is in charge of cleaning me up glances at my bare breasts and says, “Well, there's no point in your trying to nurse. You'd better give your baby to the nursery and we'll give her a bottle of sugar water.”
I protest vigorously - part of the reason that we've chosen this particular clinic is because Thierry can sleep in the room with us and help me in the night. I'm told that with nipples like mine, I can't expect to nurse properly and I'm led to feel that I am being willful and unreasonable. Finally the nurse leaves and we all fall asleep. Anna cries quite a lot so I keep her in the bed with me nestled close to my breast. From time to time, she has a suck or so before falling asleep again.

Suddenly the door opens and the bright overhead light is flipped on. We are all awakened and are told that it's time for Thierry to learn how to change a diaper. It's 1:00 in the morning. Anna is taken away to have her heel pricked, and brought back  to me, screaming.
Then comes the question that I would learn to dread: “Has she nursed?”.
My answer of “a little” is obviously not enough. Anna is held firmly to my breast. She screams more and more. Thierry and I are in a frazzle. Finally the nurse gives up and writes on her little chart “mise au sein - échec”. The same thing happens again at 4:30 am.
Then, at 8 am when we are all in a deep sleep, Thierry is awakened and told he must go to the pharmacy NOW to buy some silicone breast shields since I am completely incapable of nursing my baby...  
I call LLL and am advised to hand express my colostrum and give it to her with a spoon, which I do, drop by drop...
Every three hours, someone is in our room “helping” me. That morning, Anna latches on and the nurse immediately begins rubbing Anna's head, tickling her feet, patting her back, pulling on her ears... I ask why she can't just be left alone and am told it is important that the baby doesn't fall asleep at the breast. Needless to say, Anna not only does not fall asleep but also does not nurse. Who would? By the end of the day, 24 hours after she is born, Anna becomes hysterical as soon as anyone tries to approach her head to my breast. The second night passes like the first - we are awakened every three hours and each time it is “échec”, “échec”, “échec”...

By the next morning, I'm feeling slightly hysterical myself. My midwife stops by and I ask her to show me “calmement s'il vous plait” how to breast feed. Which she does and everything goes fine although she makes me feel that Anna is probably refusing to breast feed because I'm completely neurotic.
Then the three hour rounds start again. Everything is tried - different holds, lying down, sitting up, with and without breast shields, with something sweet on my nipples... “échec”, “échec”, “échec”...
Most often Anna's head is forced onto my breast, she screams, I tense up, and 3 days after Anna's birth, I'm starting to be under pressure to give her bottles because she is losing so much weight.

The clinic's shrink stops by and wants to know why I want to breast feed. When I answer that it's because I believe that breast milk is best for my baby's health, she says “No, that's a reason for her. What is YOUR reason?” I don't even know how to answer this woman. But it does clarify for me that the most important thing for me is that Anna receive my milk, even if it's not directly from the source.

Against the advice of the clinic staff, I decide to begin pumping. Thierry has to go home to get my pump since the clinic doesn't have any. (What kind of a clinic is this, anyway? It's supposed to have such a good reputation and is charging us such a fortune...) Nothing can describe the relief I felt when I had pumped enough to give her that first bottle of my own milk. Two days later on a mix of formula and my expressed milk, Anna had gained enough weight for us to be able to go home, all of us completely exhausted...
I don't know for sure that we would have had no problems with breastfeeding if we had been left to our own devices. I do know that Anna had started to nurse on her own before we had any “help”.
I don't know why no one at the clinic seemed to be aware that babies who are born by caesarian often are not hungry for the first 24 hours of their life and don't necessarily need to nurse much. I didn't know this, but surely a professional medical staff should have been able to give me this information and should have encouraged me not to worry instead of making me feel such a failure. Although I tried to let my anger go as soon as possible - who wants to bring that sort of energy into a new baby's life? - I still find the whole thing very upsetting. Which is probably why it took me so long to finish this...
Anyway, here it is. And I hope it may help some other mother who, for whatever reason, finds herself in the difficult position of not being able to breast feed her baby right away... Have hope - it CAN be done!


THE PROBLEM
A baby who actively and hysterically refuses the breast (thanks to the aggressive “help” of the personnel at the Clinique du Bien-Naitre).
After seeing a lactation consultant, Anna is diagnosed with sucking problems (the osteopath later told me that 3 days of contractions before her birth had fused some of the bones in her skull making sucking difficult and giving her neck problems) as well as a bubble palate.

THE STRATEGY

STEP ONE: Get the milk supply going

I began pumping in the clinic despite the advice of the personnel who told me not to bother and that it wouldn't make any difference.
Since little Anna wasn't eating at all and was losing weight, and since my milk hadn't come in yet after the caesarian, I was under a lot of pressure to give her artificial milk. I finally cracked and decided to go ahead and supplement while waiting to have enough of my own. I still don't regret this since I tend to agree with the advice to “feed the baby” no matter what and I wanted to get out of that clinic as soon as possible.
I was using an AVENT hand pump which worked well but quickly became tiring and, once I was at home and I realized that I was in for the long haul pumping, I decided to rent an electric double pump from the pharmacy. If this is prescribed by your doctor, it is reimbursed by the Sécu. You have to request the kind you want, otherwise you get something that is greatly inferior to the hand pump. I eventually got a MEDELA LACTINA  double pump but the “teterelles” (flanges) were too small for my relatively large nipples. These can be special ordered. The most efficient way is to call Medela directly (tel: 01 69 16 10 30.) They will give you the telephone nos. of the pharmacies that they work with near or in your arrondissement. You call the pharmacy of your choice to order and they can have them for you by the next day. Apparently it's longer if you order them yourself. (A friend of mine recently rented her pump from Bébé-Cash - 27 rue de Picpus, 75 012 PARIS Tel : 01 43 43 32 14. This store has a lot of puericulture items, including wraps, and is quite inexpensive)
To increase milk supply, my midwife recommended Ricinus 7CH (3 granules le matin), Urtica urens 7CH (3 granules à midi), and Prolactine 4CH (3 granules le soir). My homeopath recommended a bottle of bière brune every evening. I also took Galactogil, which I'm not sure did much of anything and is very sickenly sweet...

Thoughts on pumping :

Thanks to LLL, I had a lot of telephone support during those first weeks of pumping and lots of advice. Here's what I found most useful :
Drink lots of water while you are pumping.
Break the suction frequently to imitate a baby's suck.
By far the best piece of advice (that I got from Lea Cohen, lactation consultant and LLL leader so I knew I could trust her advice) was to sleep at night and not worry about waking myself up to pump in those first days. She told me that the few extra bottles of artificial milk wouldn't hurt Anna, and that the extra sleep would help my milk supply. This really helped to take the pressure off and made me feel less guilty about giving Anna formula. Within a few days, I was pumping enough to feed her almost entirely myself (1 bottle or less of formula a day) and by the time she was 2 weeks old, I started to pull ahead of her and stockpile a little supply of my own milk in the freezer.

And here are some things I discovered for myself :

Do not necessarily listen to health  professionals who tell you that your baby is not eating enough. I was told by several different puericultrices, midwives, etc. that I was starving my child, that at such and such an age, a baby should be eating such and such an amount. I felt absolutely panic-stricken - how was I going to be able to pump that much? But when I tried to give Anna the amounts that were recommended, it made her sick to her stomach. These amounts are based on what formula fed babies are given.
Breast milk is richer and your baby might not need that much. Follow your baby's needs and your own instincts.
If you are trying to get your baby on to the breast, always pump after a feed, that way you are sure to have something to offer.
If your baby is high need and can't bear for you to put her down (which Anna definitely was), then always have your hand pump set up and ready to go in case you can’t get to your electric one. I would sit cross-legged with Anna on my lap, rock back and forth and pump at the same time (can you say exhaustion?). Classical music often helped to calm her.
Definitely keep a log. It's very encouraging to realize that you are pumping more than you think.
Since breast milk can stay unrefridgerated for up to twenty four hours, it's possible to always have a DAL full of breast milk prepared and ready to go. This way you can pump on schedule, but feed your baby on demand, as you would when you actually breast feed.
This is not related to pumping, but if your baby is refusing to nurse, try sleeping with her close to your breasts to let her get accustomed to being near them in a non-nursing (and therefore non-threatening) context.

Thoughts on a baby that refuses your breast :

I was surprised by how many people asked me whether I felt rejected. This is probably a common and even logical reaction - one which, thank goodness, I never had. I think it is very important not to project this onto your baby. I simply cannot believe that a newborn baby is capable of actively rejecting its mother. If your baby is refusing to breast feed, then it is probably because there is some underlying physiological cause that has nothing to do with you. Given the choice, I am convinced that every baby would choose its mother's breast, and the comfort that brings, over a bottle. I felt that it was up to me to help Anna overcome this physical difficulty. It's hard to stay rational when you're completely sleep deprived and your hormones are on a roller coaster. One of the things that helped keep me going was that I had read that every baby is capable of learning how to breast feed between 4 to 8 weeks of age. (I read this on the following site: http://www.kellymom.com which is a very good resource for all sorts of breastfeeding problems). I decided I would pump for at least 8 weeks...

STEP 2: Off the bottle and on to the boob. Easier said than done!

The first thing, of course, was to get her off the bottle and on to the DAL (a.k.a. the Medela SNS. At the time I didn't know about Lact-Aid - see Mary's comments in the files. Go to “Supplementing Breastfeeding” and then “SNS supplementing”). I got my DAL from Lea Cohen who came and showed us how to use it. At the beginning,  Anna's suck was so inefficient that I not only had to use the largest size tube, but had to use both tubes at once, otherwise it took up to an hour for her to drink even 20 ml. I would regularly give the bottle a squeeze to encourage her to keep sucking. I quickly realized that if I followed the curve of her palate with my finger, then she could extract practically nothing from the tubes, so for the first 10 days or so, I kept the tubes near the front of her mouth, just behind her gums. Very gradually I worked my way back in her mouth over the days that followed, “bridging” that bubble palate and getting her to suck further back in her mouth. The thing that is disturbing about this is that as your baby's suck gets stronger, your finger gets drawn further into her mouth and your fingertip is constantly butting up against the back of her mouth. For some unfathomable reason, this does not make the baby gag, and is normal. I would sit cross legged, tape the tubes to my middle finger, and lie her across my lap to feed her. I would offer my breast first as often as I could stand it. Since the mere sight of my breast nearly always provoked hysterical crying, I often just didn't have the courage or the energy to even try.
Very occasionally, she would actually latch on and nurse and I would be convinced that all this pumping was behind us and that she had finally gotten the hang of things. But no. The next day, it would be back to the drawing board. Very discouraging.
When Anna was four weeks old, she very suddenly went back to taking forever to empty the DAL. Her weight stagnated and we couldn't figure out what was wrong. Lea being out of town, we went to see Dr. Laure Marchand-Lucas. At this point we were in a state -  we were sleep-deprived, completely obsessive about milk, and unsure of just how much longer we could keep this up...  

Dr. Marchand-Lucas told us that Anna's suck had become so strong that she was creating a vacuum in the DAL and that we needed to remove one of the tubes in order to create an air flow. She also recommended that we try a new position for feeding her (I wish we had known about this earlier - it was so much easier!). Hold your baby in the cross cradle position. Put your right hand behind your baby's neck, her little bottom nestled into the crook of your right elbow and position her as though you are going to breast feed her. Slide the tube along your left thumb without taping it and slip your thumb into your baby's mouth. Your thumb is actually right in front of your nipple so it gets your baby used to the idea of milk coming when she's in this position. It's also a lot easier and more comfortable for the parent since there's no fiddling around with the tape. Try to switch sides at each feed so that your baby doesn't get used to feeding on only one side. Over the week that followed I went down to the middle sized tube and then to the smallest tube and then the miracle happened: when she was five weeks old to the day she latched on to my breast and began nursing for real. That first day she acted as though she were saying to me “why didn't you tell me how great this was?!”.
I wish I could say that it was smooth sailing from there, but...

STEP 3: Learning how to breast feed and taming the geyser

The beginning (at last) of our breastfeeding relationship was rocky, to say the least. Thanks to all that double pumping, I had a large abundance of milk and the poor little thing practically drowned every time I put her to the breast. If I nursed her lying down, Anna would choke and sputter, milk pouring out of her mouth and streaming from her nose. She would constantly pull away, crying and letting the excess milk pour out. I tried pumping off the top but it didn't really help. What did help, was offering only one breast at a time. In my case, one breast all day, and the other all night. The best time to nurse was always right as she was waking up, probably since she was still relaxed and sleepy so her suck wasn't quite as strong. I drank sage tea and obviously stopped the beer and homeopathic remedies! It took about 2 weeks for my milk to calm down.

Obviously the breast that I wasn't offering would become engorged. I found that if I pumped even a little bit off the top, it made things worse, but what did work was hand expressing (over the sink - the irony of it all! After so many weeks of obsessively saving every drop!). Descriptions of this technique can be found in both “The Womanly Art of Breastfeeding”, as well as “The Baby Book” by Doctor Sears. I would express just enough to ease the pressure, not wanting to encourage any more milk production.
In the following weeks, I gradually went down to each breast for half a day until finally I got to one breast per nursing session. About 6 weeks after she started nursing, I felt as though we had finally gotten the hang of things.  
What I found difficult during this period is that right when everyone else seemed to have gotten the hang of things, I was just starting to learn how to breast feed and felt very unsure of myself at a time when it seemed that I should know what I was doing. It was harder to find support now that the problem was apparently solved. And of course the thing that didn't help was being, at this point, in such an advanced state of sleep deprivation that rational thought was very difficult...
This site helps with latching on and even though it's for newborns, can give some pointers: www.thebirthden.com/Newman.html

STEP 4: Figuring out why Anna is throwing up all the time (or how many problems is it possible to have, anyway?)

This did not actually take very long to figure out. During the summer, I was at the height of my respiratory allergies - pollen, pollution, you name it - and as always, I cut dairy out of my diet. On August 15th, when Anna was almost 3 months old, we celebrated my 20 year anniversary in France with an enormous (and delicious) “plateau de fromage”. Within a few hours, Anna was writhing in pain, crying and spitting up. But the next day she was fine.
Long story short, it only takes a few times to link cause to effect and decide that dairy might be a problem. However, despite having cut cheese and milk from my diet, Anna continued to have digestive problems (lots of spitting up and stomach upsets, and most worrisome of all, lots of mucous in her poop). Finding a doctor who would listen to me (instead of telling me it was my imagination and diagnosing reflux) was difficult.
We returned to see Laure Marchand-Lucas who advised me to completely cut out dairy - not even one tiny drop in anything. Within two weeks, and with the help of “gel de polysilane” and fennel tea, problem solved! Yeah! For some reason, Anna also seemed to react to beef and pork...


March 22, 2006
Anna will be 10 months old in two days. Compared to other babies, she has always done little to no comfort nursing and has very rarely nursed herself to sleep. At just over 6 months old, Anna simultaneously began eating solids, learned to crawl and was able to pull herself to a standing position. She very abruptly decreased the amount she was nursing, to the extent that by the time she was 8 months old, I began to be afraid that she was going to wean herself early. (I began occasional pumping again and added the milk to her food to make sure she was getting enough)
At 8 ½ months, she began walking. At 9 months, just as I got my period again, she began nursing herself to sleep for the first time and within the last week, Anna has just as abruptly begun increasing the amount she nurses. Babies certainly do move in mysterious ways!
Her sensitivity to dairy has passed and we are well on our way to accomplishing my goal of getting her to at least a year. Anything beyond will be icing on the cake...

​DOCUMENTATION POUR LES PROFESSIONNELS DE SANTÉ
"MOTHER KANGAROO: A LIGHT OF HOPE."

Mother Kangaroo: a light of hope."
 Documentation pour les professionnels de santé
. Dossiers de l'Allaitement n° 67 - Le lait humain et les produits
d'enrichissement pour les prématurés -  sommaire du n°
. Dossiers de l'Allaitement n° 61 - sommaire du n°
- Humaniser les soins aux prématurés
- Néonatalogie - Obstacles et bénéfices de l'allaitement

. Dossiers de l'Allaitement n° 60 - sommaire du n°
- Stabilité cardiorespiratoire de prématurés et d'enfants nés à terme
pendant le portage
- Evaluer l'intérêt des produits d'enrichissement chez les prématurés

. Dossiers de l'Allaitement n° 58 - sommaire du n°
-Impact économique de l'utilisation du lait humain pour la prévention de
l'entérocolite ulcéronécrosante

. Dossiers de l'Allaitement n° 55
- Impact du portage kangourou sur l'allaitement de prématurés

. Dossiers de l'Allaitement n° 48
- Programmes de soins centrés sur l'enfant et sa famille

. Dossiers de l'Allaitement n° 43
- Facteurs immunologiques et nutritionnels du lait de mères de bébés
prématurés

. Cahier de l'Allaitement n°3: en néonatologie - sommaire du cahier

. Dossiers de l'Allaitement,spécial hors série 6 ème JIA - sommaire du
dossier
- L'allaitement du prématuré et du nouveau-né malade. Kerstin Hedberg
Nyqvist
- Le contact peau à peau. Nils Bergman

. Dossiers de l'Allaitement,spécial hors série 4 ème JIA -
- Stimulations oro-faciales en néonatologie - Sabine Bruwier et Véroniques
Paques

. Etude : Portage kangourou - traduction de Kangaroo mother care in the
nursery. GF Kirsten, NJ Bergman, FM Hann. Pediatr Clin North Am 2001 ; 48(2)
: 443-52.

. Etude : Impact du portage kangourou de prématurés - traduction de Kangaroo
mother care in the nursery. GF Kirsten, NJ Bergman, FM Hann. Pediatr Clin
North Am 2001 ; 48(2) : 443-52.

ACCOUCHEMENT RÊVÉ; RÉUSSI. DE CYNTHIA. (PLAN DE NAISSANCE CI DESSOUS)

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L’accouchement dont j’ai toujours rêvé !


Chose promise, chose due, :

J + 5 : Rendez-vous prévu à la maternité pour 8 h !

A 8 h mon mari me conduit à la maternité. J’ai toujours quelques contractions mais très espacées et pas très efficaces pour le moment. En arrivant, la SF regarde mon col. Il est encore postérieur, un peu épais, toujours à deux doigts en externe mais bien mou. Elle appelle le gynécologue de service.

Le gynéco de garde arrive, très sympa et nous abordons la dilatation, je lui parle de mes doutes, de mes attentes, de mon projet de naissance etc… Il me demande si je suis pressée d’accoucher. Je lui répondu que non ! Il me fait également bien lui confirmer que je ne souhaite pas de péridurale.

Après vérification de mon col, il me propose la pose de gel pour la « maturation » de mon col encore un peu long et déclencher doucement le processus ! Je lui réponds que je préfère cela car c’était beaucoup moins violent qu’une perfusion d’ocytocine.

A 9 h 40, la SF m’introduit une première dose de gel sur le col de l’utérus. Je suis en salle de pré-travail. Arrivent des contractions modérées mais régulières cette fois. Elle me dit aussi qu’elle a pris connaissance de mon projet de naissance et qu’elle sait que je ne veux pas la péridurale.

A midi, mon homme part déjeuner. On me donne une compote et de l’eau à boire. Les contractions sont largement supportables. Je lis des magazines ! J’écoute de la musique, je gère les contractions quand elles sont là, toutes les quinze minutes environ parfois toutes les trente minutes seulement.

Après deux heures de surveillance monitoring (dont on coupe totalement le son à ma demande) à être restée allongée pour que le gel agisse, la SF me libère et je vais me promener en compagnie de mon mari dans la cour de la maternité !

A 15 h 30, après vérification de mon col qui est toujours mi long et un peu épais même si beaucoup plus mou, on m’applique une nouvelle dose de gel sur recommandation du gynéco de service.

Re monitoring, re deux heures d’attente allongée le temps que le gel agisse. J’écoute de la musique de relaxation avec mon MP3. Deux heures après, à 17 h 30 environ, on me délivre du monitoring. On me donne un yaourt et une compote avant et un jus de fruit pour me désaltérer. J’ai fais une bonne sieste et je décide donc de me promener en compagnie de mon mari dans la cour.

Retour ensuite dans la salle de pré- travail, les contractions s’intensifient, je m’installe sur le ballon qui me soulage grandement ! La SF me propose de prendre un bain mais j’ en ai pas envie. Puis mon mari me masse la bas du dos et le haut aussi pendant très longtemps, ça fait un bien fou !!!

19 h : je retourne me promener dehors avec mon mari. Il fait super beau et le vent tiède est super agréable, je profite de ces derniers instants sous le soleil.

****Là les contractions s’emballent ! Une toute les deux minutes et elles me font très mal.

Je souffle, je respire à fond. Je retourne dans la salle de pré travail. La SF m’installe un monitoring histoire de contrôler le rythme des contractions et le cœur du bébé.

Très rapidement elle me le retire : Les contractions s’emballent de plus en plus : une toutes les minutes !

Je suis à 4 pattes sur le lit car j’ai mal dans le bas des reins et seule cette position me soulage ! Mon mari me masse en même temps le bas du dos puis tout le dos ! Il est désolé pour moi, désolé de constater combien je souffre.

La SF contrôle l’avancée du travail : mon col est à dilation 3 et il est *ENFIN complètement effacé* : elle me dit qu’il va falloir se rendre dans la salle de travail.

Je souhaite m’y rendre en marchant. Je souffle et avance péniblement jusqu’à la salle, chaque contraction me coupe la respiration mais j’inspire fortement par la bouche car par le nez j’ai l’impression de manquer d’oxygène et je pense que ce sont autant de clefs qui m’ouvrent des portes pour laisser mon bébé venir à moi ! Je me dis que ce sont mes amies et me souviens de mes séances de sophrologie ! Relax, relax, facile à dire pas à faire. Mon mari s’habille pour me rejoindre dans la salle d’accouchement. Je le trouve tout drôle avec ces chaussons de papier et sa blouse de toubib !!!

La SF m’installe sur une table sans étrier. !!! Elle me dit qu’il est temps de m’installer une perfusion. Je refuse car je ne veux pas d’ocytocine. Elle me dit que NON, conformément à mon projet de naissance je n’aurai pas d’ocytocine et d’ailleurs j’ai déjà bien assez de contractions mais par sécurité elle doit me poser la perfusion ! J’accepte !

Je transpire à grosses gouttes et même mon mari ne peut plus m’approcher, il tente de me donner la main mais chaque contractions toutes les minutes me laissent si peu le temps de récupérer que je lui ordonne de ne surtout pas m’approcher !!! Je m’agrippe de plus en plus au matelas du lit et souffle de plus en plus fort. Je me met soit à 4 pattes, soit sur le côté à droite puis à gauche, puis en arrière puis accroupie etc…Chaque contraction me laboure le ventre, me coupe la respiration, m’épuise mais me rapproche de mon précieux trésor ! Je travaille encore et encore, je souffle encore et encore au rythme douloureux des contractions qui je le sais me rapprochent de plus en plus de mon bébé !!!

La SF me demande si elle peut me poser un monitoring et contrôler mon col, je refuse en lui disant que j’ai trop mal et que je ne veux surtout pas qu’on m’approche ! J’ai trop mal, je la supplie de ne surtout pas m’approcher, de me laisser tranquillement gérer mes contractions. Elle obtempère, elle accepte de me faire confiance. Elle accepte en me disant qu’effectivement elle trouve que je gère très bien les contractions ! Oui facile à dire mais pas à faire hummm !

Soudain je sens ma poche des eaux qui se perce, les contractions sont alors plus vives encore et la SF présente me demande encore si elle peut vérifier le travail ! J’accepte, je suis à dilation 4 !!! J’ai l’impression que ça n’en finira pas ! Que le temps dure une éternité !!! La SF m’aide à mettre une serviette hygiénique géante qu’on glisse dans ma culotte car je suis toujours sur le lit !!! Les contractions s’accélèrent encore j’ai presque envie de hurler mais je n’en ai plus la force : je ne pense qu’à souffler !

Minuit passé : La SF souhaite m’examiner : J’accepte ; les contractions ont ralenties un peu et sont à présent toutes les cinq minutes, j’ai moins mal et je peux récupérer un peu plus entre chaque contraction. Elle m’annonce soudain que je suis à dilation complète et que la tête du bébé est engagée. Au même moment j’ai envie de pousser, je le lui dis !

Je pousse une fois pour sortir la tête, une fois pour les épaules et là je demande à saisir mon bébé sous les bras. Je tire Wendy toute chaude jusqu’à moi, son cordon est très grand, je la pose sur le haut de mon ventre. Wendy pleure un tout petit peu. La SF m’annonce que je n’ai aucune déchirure ni coupure ! Une puéricultrice essuie sur mon ventre ma puce avec une serviette, sa tête, son visage puis son petit corps.

La puéricultrice m’emmène une couverture rose toute chaude que l’on pose sur Wendy. Il est 0 heure 26 minutes. Sentir sa peau me réconforte, c’est indicible ce que je ressens : l’émotion et la joie sont à leur paroxysme.

La SF me dit que je suis la seule maman à accoucher ce soir. Elle a du temps à me consacrer. On attend plusieurs minutes et lorsque le cordon ne bat plus, la SF appelle mon mari pour qu’il le sectionne. Mon mari le coupe avec fierté.

La SF me demande à présent de pousser pour évacuer le placenta. Je m’y active aussitôt. Mais ça ne vient pas, juste du sang qui coule. Elle me masse légèrement le ventre. On attend encore, puis quand j’en ai envie, je repousse à nouveau et là je sens le placenta qui glisse entre mes cuisses et la SF qui me félicite car dit-elle je suis très efficace pour « pousser » !

La puéricultrice me demande si je souhaite qu’on lave les cheveux de mon bébé, je refuse. Je veux juste rester avec ma puce sous la couverture. Soit, elle me dit qu’ on lui lavera les cheveux demain. Elle lui enfile alors un petit bonnet à usage unique sur les cheveux en m’expliquant que le bain est maintenant à J + 3 !

Une demi heure plus tard, mon mari et moi souhaitons connaître le poids de notre bébé. Alors la puéricultrice part avec le papa peser bébé. Ca dure quelques secondes et aussitôt après lui avoir enfilé une couche on me la rend toute chaude et je reste ainsi avec elle deux longues heures dans la salle d’accouchement.

A 1 h 15, Wendy prend sa première tétée de bienvenue, vingt minutes de pur bonheur où elle tête goulûment mes deux seins l’un après l’autre. Je remercie la SF pour la confiance qu’elle m’a accordée quand j’ai refusé le monitoring, la confiance pour tout le reste et pour ce très bel accouchement. Elle me dit qu’elle aimerait avoir plus d’accouchement comme le mien car j’ai tout fait toute seule et que je suis formidable !

Voilà j’ai trouvé que tout s’est très bien passé et je suis très très fière de ce bel accouchement comme je voulais !!! Je me suis sentie maître de la situation et ça m’a donné beaucoup de confiance en moi ! Une expérience que je souhaite à toutes les mamans.

Merci de m'avoir lue !



D'autres photos sur : HYPERLINK "http://cynthia35430.skyrock.com/3.html"http://cynthia35430.skyrock.com/3.html


PLAN DE NAISSANCE DE CYNTHIA.
TÉLÉCHARGEABLE EN BAS DE LA PAGE DANS DOCUMENTATION

Plan de naissance

Nom       XXXXXX                                                   Numéro de dossier : XXXXXXXXXX

Adresse :  XXXXXXXXXXXXXXX                            

N° d’assurance maladie :  XXXXXXXXXXXXXX

                                                                                       Médecin traitant : XXXXXXXXX

                                                                                                                 Groupe sanguin : XX  Numéro de téléphone : XXXXXXXXXXX                                                                    Allergie(s) : XXXXX

Date de naissance : XXXXXXXX     Date Prévue d’accouchement : XXXXXXXX

 

Pourquoi un plan de naissance ?

Tout simplement pour que vous, intervenants (es) en obstétrique, puissiez connaître à l’avance mes choix, qui sont le fruit de plusieurs mois de réflexion, quant à la façon dont je désire vivre ce quatrième accouchement. Les raisons pour lesquelles je souhaite ce plan sont avant tout pour favoriser ma lactation puisque  jusqu’à présent je n’ai jamais  réussi à allaiter et je voudrais vraiment allaiter pour mon Xème enfant. Allaiter est pour moi primordial .

 

 

Événements inattendus

Bien que ce plan de naissance se borne, par souci de synthèse, à un accouchement normal, je suis tout à fait consciente qu’il puisse en être autrement.  Comme mes réflexions m’ont aussi conduite à explorer les situations plus particulières, s’il advenait que ce soit le cas, je dois être consulté immédiatement de tout événement pouvant influer sur le présent plan et ce, afin de me permettre de m’ajuster et de vivre le mieux possible cette naissance et ce, dans le respect de mes convictions.

 

Travail

 

Présence de mon mari
Ouverture de veine uniquement avec ma permission
Je souhaite un travail et une expulsion sans anesthésie péridurale et j'aimerais tout votre soutien autant physique que psychologique pour que ce soit le cas.  Merci de ne pas me la proposer même dans les moments difficiles et de me rappeler mon souhait de ne pas l'avoir si je la demande.
Auscultation du cœur fœtal seulement au Doppler portatif
Rupture naturelle des membranes
Que l’on me laisse totalement libre de mes mouvements
 

Expulsion

Poussée physiologique
Position de mon choix
Quand la tête et les épaules seront dégagées, je désire attraper moi-même mon bébé pour l’emmener jusqu’à moi.
 

Accueil du bébé

Contact immédiat peau à peau et pendant 6 heures minimum non interrompu.
Allaitement maternel dès la naissance
Aspiration des mucosités au besoin seulement
Clampage du cordon et sectionnement par mon mari  seulement après la délivrance
Délivrance

Expulsion naturelle du placenta sans traction contrôlée du cordon
Injection d’ocytociques seulement en cas d’extrême nécessité. Je désire pouvoir bénéficier de méthodes naturelles pour l’expulsion (massage ou acupuncture ) : Je suis au courant de l’existance du protocole de service.
 
 

Soins du bébé

Aucun soin jusqu’au lendemain de la naissance et ce uniquement en  ma compagnie.
Mon bébé ne doit pas quitter ma présence sous aucun prétexte.
Pas d’injection de vitamine K et ni d’instillation ophtalmique d’antibiotiques
Pas de test de glycémie
Pas de toilette, bébé juste essuyé avec une serviette
Allaitement maternel à la demande
Aucune tétine artificielle ni complément d’eau ou de préparation lactée
 

Soins de la maman

Accès au bain ou à la douche peu importe l’heure
Prise de signes vitaux seulement une fois après la naissance
 

Sejour

 

Cohabitation 24 h/24 avec bébé et cela dés la première nuit 
Sortie lorsque je le désire
 

En ce qui concerne mon allaitement je ne souhaite aucune intervention de la part de l'équipe ni commentaire ou encouragement à donner du lait artificiel, eau sucrée ou biberons. J'assume tout responsabilité pour mes choix et je suis prête à signer une décharge de responsabilité si souhaitée.

Merci !
                                          
Signature       

                               

​COUPER LE CORDON : PLUTÔT TARD QUE TÔT. L’UNE À L’AUTRE - ÉTÉ 1988.

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Couper le cordon : plutôt tard que tôt
Il existe très peu de littérature scientifique sur les effets de la ligature précoce du cordon ombilical. Les conséquences de cette procédure routinière pourraient cependant être sérieuses. Après la naissance du bébé, la surface de la paroi utérine rétrécit à cause de la contraction; le placenta, qui ne peut traduire sa propre surface, se détache alors de l’utérus. Comme l’utérus se contracte vers le bas, le placenta est guidé vers la région de moindre résistance, le vagin. Quand le cordon demeure intact, la pression des contractions utérines maintient un flot de sang oxygéné vers le bébé. Le volume du placenta étant diminué de cette quantité de sang ( 90 ml en moyenne), il se sépare rapidement et aisément, à mesure que la contraction utérine comprime les vaisseaux sanguins.
Quand le cordon est pincé, par contre, la résistance du placenta gorgé de sang peut nuire au processus de rétraction. En fait, des études ont démontré que la ligature immédiate du cordon prolonge la durée moyenne du troisième stade de l’accouchement et augmente sérieusement la perte sanguine de la mère. La rétraction du placenta qui accélère la séparation et l’expulsion et réduit la perte de sang, ne se produit que lorsque le cordon demeure intact ou, dans le cas où il a dû être coupé, lorsque le bout relié au placenta demeure libre.
​
L’avantage est encore plus net pour les mères dont le sang est Rh- : les mères de bébés Rh+ développent moins souvent d’anticorps quand on ne pince pas le cordon et que la délivrance du placenta est spontanée. Normalement, le sang de la mère et celui du bébé ne se mélangent jamais. Mais quand le placenta se sépare après que  le cordon ait été poncé, le sang du bébé resté dans le placenta, peut pénétrer dans la circulation maternelle et cause la formation d’anticorps.

Effets sur le bébé

Avant la naissance, le sang du bébé est distribué à travers son corps et son placenta. On pense souvent à tort que le corps du bébé est déjà plein de sang et que le sang placentaire est en excès. Le sang placentaire sert à remplir les vaisseaux sanguins des poumons, auparavant comprimés par le liquide contenu dans les alvéoles. Ce besoin accru de sang aux poumons pour permettre la respiration et l’accroissement des mouvements des bras et des jambes du bébé expliquent l’utilité du sang placentaire pour le bébé. Ce phénomène pourrait-il expliquer certaines des difficultés que connaissent les prématurés dont le cordon est immédiatement coupé à la naissance? Trois groupes de chercheurs ont démontré que les nouveau-nés dont le cordon est immédiatement ligaturé ont une incidence beaucoup plus grande de murmures cardiaques dans les 14 premiers jours de vie. Ils ont noté que les nouveau-nés chez qui on a laissé le cordon intact on jusqu’à 50 % de globules rouges de plus, une réserve de fer plus importante et sensiblement moins de syndromes de détresse respiratoire.

Plusieurs praticiens ont peur d’augmenter le nombre de jaunisses s’ils attendent avant de couper le cordon. La jaunisse physiologique est un phénomène naturel. Seule la jaunisse non physiologique requiert une attention et quelques fois une intervention médicale. Les facteurs pouvant causer la jaunisse non physiologique incluent la prématurité et l’usage de médicaments pendant le travail; les inductions par  ocytociques et les anesthésies épidurales, entre autres, ont été clairement reliées à ces jaunisses.
À la naissance non médicamentée d’un nouveau-né à terme, les avantages de laisser le cordon intact jusqu’après la délivrance du placenta l’emportent de loin.

L’une à l’autre - été 1988

​OSTÉOPATHIE ET ALLAITEMENT, PLUS TÔT, MEILLEUR CONFORT POUR VOTRE BÉBÉ ET POUR VOTRE ALLAITEMENT. TÉMOIGNAGE.

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Coucou les filles
 
Les filles je vous conseille toutes un rendez vous chez l'ostéopathe ; si possible un spécialisé dans les nourrissons !!

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 Suite à mon rendez vous chez l'ostéopathe qui est spécialisé dans les nourrissons et maman enceintes , j'ai compris pas mal de choses notament que Wendy me suce parfois le sein quand elle a mal au ventre et que c'est pour ça qu'elle se cramponne à mon sein si fort en le pinçant. Il m'a donc montré diverses manipulations pour la soulager avant de lui proposer le sein !!! Il m'a dit son petit ventre doit être souple comme un chiffon, il m'a fait sentir la différence après manipulation.
 
Il m'a montré diverses positions pour la coucher la journée et la façon de la prendre sans tirer sur son ventre et lui faire mal, des erreurs qu'on commet toutes sans le savoir et qui font que bb a encore plus mal au bidon ensuite.

IL m' a dit aussi de la faire saliver quelques secondes en lui mettant le bout de mon doigt que j'aurai préalablement frotté sur mon mamelon sous son nez pour que sa salive tapisse préalablement son système digestif, histoire de protéger le tout. Quand elle commence à s'enerver, une fois que son ventre est bien souple (ça veut dire qu'elle n'a plus mal) il faut que je la mette au sein et normalement elle sera moins féroce en tétant et se cramponnera moins à mon sein. Nous avons fait ça en rentrant du rendez vous et effectivement Wendy m'a tété le sein très sereinement !!!!!!!!!! Sans le cramponner !!!! Même si j'ai toujours le sein sensible, la tétée était beaucoup plus agréable.
 
Il a vérifié le reste de son ossature et tout va bien. La nuque, la colonne etc... tout est ok !!!

L'ostéopathie soulage divers maux des nourrissons comme les problèmes de  régurgitations, de coliques et troubles du sommeil qui sont liés à des problèmes mécaniques. Alors courez vite consulter les filles si ce n'est déjà fait et faire le point car après vous y verrez plus clair comme moi !!!!

Par contre, tout à l'heure , j'ai constaté des points blancs sur rond rouge dans la bouche de Wendy, à l'intérieur de ses joues. C'est un début de muguet, il y en a seulement 3 /4 de points mais j'ai déjà vu ça sur ma fille Atina quand elle était bb et c'est bien un muguet, autrement dit 1 mycose. C'est fort probable que mes douleurs au sein gauche et qui commencent à me chatouiller à présent le sein droit viennent effectivement bien d'une mycose. Je vais aller voir mon homéopathe demain matin pour lui demander un traitement pour moi et Wendy.
 
Bisous Lactés
 
Cynthia


OSTÉOPATIE. TÉMOIGNAGE MÈRE

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​bonjour!

Alors je suis allée à mon rendez vous hier soir chez l'osthéopate: ça s'est super bien passé et il n'y a que du positif!

Tout d'abord pendant que nous attendions dans la salle d'attente, je donnais la tétée à Gabin avec mon DAL (évidemment le monsieur qui attendais son tour regardais du coin de l'oeil) car comme il a fait très chaud, Gabin a tété toute la journée (c'est rare)et j'étais contente car rassurée sur la déshydratation.
L'osthéo est venu chercher le monsieur et il nous dit bonsoir tout en observant de loin (le temps que le monsieur se lève de sa chaise et le rejoigne)Gabin qui tétait. C'est un petit monsieur qui présente bien et qui vous observe en plissant des yeux et vous vous sentez scruté... est ce un défaut professionnel? je ne sais pas mais en tous cas il est très souriant et posé et je me suis sentie apaisée en le voyant.

Bref, notre tour arrive, on se sert la main , il nous fait entrer dans une grande salle un peu impressionnate car il y a juste un bureau et une grande table pour s'allonger en forme de transat mais confortable. On s'assied, il va se laver les mains et s'installe sur sa chaise, et nous regarde et surtout regarde Gabin sans rien dire pendant quelques secondes... et là il nous dit:"il fait de l'anémie?"
je ne savais pas quoi lui dire étant donné que nous avons pas eue de prise de sang de faite. On lui dit qu'il a la varicelle et qu'il dort tout le temps beaucoup comme si il était épuisé parce qu'il ne mangeait pas assez...

Il nous demande d'installer Gabin en couche, allongé, et me demande de m'éloigner un peu et de ne pas le toucher... Gabin me regarde avec de grands yeux se demandant ce qu'il se passait, je lui explique et l'osthéo se met à lui parler en tête à tête au dessus de sa tête, à l'envers et il lui fait pleins de petits bisous sur ses pieds pour le rassurer. Je n'avais jamais vu un médecin faire des bisous à mes bébés et j'ai trouvé ça rigolo.

Et là c'est partie pour 30 minutes de manipulations douces mais il lui a TOUT manipulé! évidemment Gabin hurlait mais ça ne lui faisait pas mal car on m'en a déjà fait, c'est impressionnant mais il n'avait pas mal.

Il me rend Gabin, on se caline et on retourne s'assoir au bureau. Et là le verdict tombe:

"pouuuuuuuuf, il y avait du boulot" il nous dis ça gentiment, calmement et il était content.
J'attends.
Il me regarde avec Gabin dans les bras et là : il se met à me parler de sa position intra utérine et il me raconte mon accouchement!
C'était incroyable mais vrai!!!
J'ai confirmé que Les sages femmes étaient venus le lendemain me rendre visite (car ça avait fait le tour du service)pour me parler du mauvais positionnement de mon bb et de la violence et de la rapidité de sa naissance et le petit coeur qui en avait marre et le fait d'etre resté coincé au niveau des épaules. La sage femme avait due
tirer la tete le dégager au plus vite... Elle a fait de son mieux...
Verdict: il a un torticolis depuis la naissance d'ou le fait qu'il n'arrivait pas à prendre le sein dès la naissance et qu'il hurlait sans arret et les crevasses que j'avais... toticolis d'ou aussi qu'il se touche derrière les oreilles depuis ses 1 mois et 3 semaines, tout le monde disait ô ce sont les dents, j'étais surprise. et puis mon autre médecin traitant qui disait ça aussi et je dsais "c'est peut etre une otite?" mais elle ne voyait rien, et j'en passe des meilleurs... dans mon ventre son dos était contre mon dos, sa tête était appuyée sur l'os de ma hanche, tout cela je le savais car à la fin de chaque visite prénatale on me disait votre bb est placé bizarrement (4kg100 et 52.5 cm et demi) je ne suis pas grande et je suis étroite des hanches... en fait le torticolis s'est déclenché après avoir tiré Gabin et ses tensions viennent de sa vie intra utérine... Tout cela il l'a vu à la forme de sa tête et il a une bosse derrière spécifique de ces bb positionné pas comme les autres.
Je n'en revenais pas! je ne lui ai rien dis (pour voir) et il connaissait presque toute l'histoire de mon bb.
Sa petite langue a eue un réflexe de se mettre en arrière ( choc de naissance ) donc il lui a remis en place en enfonçant le petit doigt dans la gorge. Il m'avait dit aussi que ses selles devaient etre irrégulières, des renvois... et je lui dis qu'il hoquète constemment depuis mon ventre. Tout ça c'est lié.

J'ai pleuré de libération... Ensuite il a voulu voir Gabin téter et là surprise: Gabin est souple dans mes bras, légé, il tourne sa tête vers mon sein droit calmement(car c'est le mamelon droit qui me fait souffrir) et c'est à gauche que son torticolis est le plus intense...
tout correspond. Il OUVRE sa bouche(plus besoin de pincer le mamelon et de le forçer!) et se mets à gober mon sein et à aspirer comme il n'a jamais fait!!! je redécouvre et me souvient maintenant comment un bb fait au sein... inconcsiemment je n'avais pas oublié et de ressentir ça et bien je me suis souvenue. Mon corps sentait bien qu'il y avait quelque chose mais personne à la maternité ne m'a prise au sérieux. Je l'ai signalé plusieurs fois que mon bb avait un problème à la bouche et sa langue me paraissait courte mais non! personne n'a vraiment cherché à comprendre. ça fait 5 mois que je me bats et je crois que je vais retrouver
bientôt la paix avec Gabin.

Je vois un ORL mardi, j'attends avec impatience!
Ce matin Gabin ne s'arretait plus de téter et il était détendue, c'était émouvant de voir ça, il devait souffrir depuis longtemps et je suis fière de ne pas avoir laché, et ceci mesdames je le dois en partie à vous toutes!

Vive la solidarité et l'amour des uns et des autres!
merci encore pour tout votre soutiens!

Bisous lactés à toutes.
Colette Varenne
colettevarenne@yahoo.fr

KINÉSIOLOGIE.

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En France, il désigne une technique de mieux-être qui a le même rôle qu'une thérapie, avec un accompagnement de la personne, et qui permettrait, selon ses utilisateurs, de dissoudre les blocages émotionnels, mentaux, ... grâce à un dialogue corporel à la recherche des solutions les plus adaptées. Le principe est que le corps conserve toutes les informations de son histoire et que la personne elle-même peut choisir de changer pour retrouver un équilibre. Il rejoint la deuxième définition, et des utilisations récentes qui sont en fait des marques déposées :

    * kinésiologies spécialisées : ensemble des méthodes développées dans le monde à partir des travaux du Dc John Thie chiropracteur américain. La Touch for health[2], qu'il a élaboré est une technique très simple, synthèse des informations fournies par les tests musculaires, bien connus des chiropracteurs, et de la circulation de l'énergie dans les méridiens d'acupuncture, propre à la médecine chinoise. Le Touch for Health est enseigné dans plus de cent pays dans le monde, et en Europe depuis le début des années 1980.

    * kinésiologie hypersens[3] : est une méthode qui permet, grâce à un test musculaire spécifique[4], d’identifier ce à quoi et les substances auxquelles la personne réagit de manière exagérée, de rechercher les barrières (physiques, émotionnelles, mentales, biochimiques,etc.) qui empêchent la personne de vivre normalement et d’équilibrer le système énergétique pour permettre au corps de retrouver un fonctionnement meilleur. Ainsi, la personne pourrait de nouveau consommer ou être en contact avec ce à quoi elle était très sensible ou intolérante.

    * kinésiologie harmonique : méthode crée en France dans la lignée des kinésiologies spécialisées. La Kinésiologie Harmonique [5] est une recherche des freins qui se sont mis en place au fur et à mesure que nous avancions sur le chemin de notre vie. C’est par le test musculaire, outil privilégié des Kinésiologies spécialisées[6], que, selon cette discipline, le corps nous livre les informations dont nous avons besoin pour comprendre. Elle doit permettre la découverte des déséquilibres qui nous empêchent d’être dans l’harmonie "corps, mental, esprit".

édukinésiologie : aujourd'hui nommée "éducation kinesthésique" par son fondateur le Dr Paul E. Dennison[7]. Cette méthode vise avant tout à développer les capacités d'apprentissage chez les enfants aussi bien que chez les adultes en utilisant principalement des mouvements et des exercices simples et ludiques. Le public visé par cette méthode est autant les enseignants que les parents, ainsi que les différentes formes de kinésiologies.

Mesdames, Bonjour,
 
J'ai pris contact avec une amie Kinésio qui m'a donné les coordonnées de quelqu'un de très intéressant, mais sur Nantes en fait plutôt du côté de Grandchamps des Fontaines (je crois)
 
 
Marine BROCHU 06 15 92 13 67
 
et sinon elle me conseille directement la Fédération
 
 
Fédération Française de kinésiologues spécialisés 01 30 66 05 40
 
www.ffks.org
 
et me dit :
 
"Ma liste est ancienne, je pense que tu peux trouver des références , il y en a plusieurs dans le Morbihan, un à ma connaissance à rennes,deux dans les Côtes d'Armor.
Je pense qu'il faut actualiser les références "
 
Bonne continuation
 
Christelle

KANGAROO MOTHER CARE: AN INTERVIEW WITH DR NILS BERGMAN. EN ANGLAIS.

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KANGAROO MOTHER CARE: AN INTERVIEW WITH DR NILS BERGMAN
By Marit Olanders
“It is the mother’s body which provides a newborn baby with the very best environment to grow and thrive”, says Dr Nils Bergman, who is a doctor specializing in Kangaroo Mother Care (KMC) in South Africa.  “When placed skin-to-skin on the mother’s chest, the baby receives warmth, protection and food, and its brain can develop optimally. Not feeding the baby often enough and leaving it to sleep alone after a feed can result in the baby getting colic”, he adds.  “The mother’s skin is the baby’s natural environment, and both physically and emotionally the healthiest place for it to be”.
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The mother’s body is the only natural, healthy environment for a newborn baby
Nils Bergman says he would like to place the breastfeeding of small babies in its wider context, and his point of departure is the biological perspective.  He says that the behaviour of the baby, is determined by its environment, and the environment in which it is placed can have a positive or negative outcome.  The correct environment for the baby is the mother’s body, and he emphasises that the baby is totally dependant on being kept in this optimal environment all the time.
Protest despair response.
Failure to be kept in contact with the mother’s skin, maintains Bergman, is not only a “non behaviour” but also creates a state of pathophysiological stress.  This is true for healthy full-term babies, as well as those born prematurely.  As with other mammals that are moved from their natural environment, human babies react with protest and despair.  In the protest phase, the baby tries intensely to reestablish contact with its correct environment, the mother, usually by crying.  If that fails, the baby becomes too tired to cry anymore.  Instead it lapses into a state of despair in which the individual withdraws in order to conserve energy and concentrate on survival. The result of this is a lower body temperature and heartbeat, while at the same time there are greatly increased levels of stress hormones, because a baby separated from its mother, is in fact stressed. When the baby is returned to its correct environment, which is the mother, the temperature and heart rate quickly return to normal levels.  
Human babies are biologically extremely immature when they are born.  According to researchers, the reason that they are born so immature is the fact that the width of the birth canal through the mother’s pelvis was reduced when our ancestors started walking upright on two legs. At the same time, due to human development following early tool usage, the brain volume increased.  The evolutionary solution was that babies began to be born earlier and therefore more immature.
Despite their immaturity, human babies in their proper environment, which is being placed skin-to-skin on the mother’s chest, can take care of themselves, says Nils Bergman.  He refers inter alia to Ann-Marie Widström’s research, as well as the findings of other researchers, showing that healthy newborn babies without any prompting and without assistance, can, if placed on the mother, crawl up to her breast, find the nipple, latch on and start to breastfeed.
The right environment also means free breastfeeding.
Dr Bergman says that babies sleep in cycles of 1 to 1 ½ hours.  But even if the baby is asleep, the brain registers whether or not it is in its right environment, he adds. Of course babies can sleep for longer periods, but that is a learned behaviour, not a natural one.  
Colic, according to Nils Bergman, can be caused by too much food being given at any one time, or by the fact that the normal digestive process in the newborn baby stops when it is separated from the mother.  According to him, the natural situation would be one where babies feed approximately every 90 minutes, and consume 30 mls of milk, which in turn corresponds to the volume of the excretion reflex.  Among breastfeeding counselors, one often hears talk about several excretion reflexes taking place during one feed. But according to Bergman, this is a reflex that occurs because the baby is not fed often enough, and then is given too much at one single feeding.
On the first day following birth, the baby’s stomach can contain only 5 ml of fluid.  By the time the baby is a week old, its stomach can hold 30 mls.  If the stomach is filled with more than 30 ml of milk per feeding, the excess content leaves the body either by way of excretion or by the baby positing up some of the milk.  If neither of these occurs, the excess milk is trapped in the stomach and the stomach muscles become stretched as a result.   That alone can cause colic, explains Nils Bergman, as he demonstrates the size of the stomach with his hands.
Furthermore, if the baby is separated from its mother after it has fed, its level of stress hormones increases due to the trauma of being separated from her, and as a result the digestion stops, which can also cause colic. The correct digestive processes in a baby are totally dependent on the fact that it should not separated from its mother.
The development of the brain is benefited and normalised by skin contact.
The greatest advantage of the baby being kept skin-to-skin with the mother for 24 hours a day, and being breastfed freely, is the development of the brain, Nils Bergman points out.  A baby is born with a maximum number of synapses (that is, potential connections) between the nerve cells. Neurological pathways become established between the synapses that are used, and unused synapses die off.  By 6 months of age, all the baby’s brain cells are fully developed. After that, it is the neural pathways which become the important determining factor in the quality of life that the individual will experience.  These neural pathways can be stress-related or pleasure-related paths, depending on the environment in which the baby resides – closeness to the mother, or separation from her.
If the baby is forced to use the stress-related paths in infancy, the pleasure-related paths are pruned away.  The stress-driven neurological pathways then become dominant for the rest of the life of the individual.  We talk about the plasticity of the brain, and the fact that the brain can compensate for various losses, but this does not apply to these very early and fundamental nerve pathways, which become permanently set in the brain. The brain is a bio-social organ.  In this context its function is to create and maintain relationships.  If it not allowed to do that right from the beginning, dissociation occurs.  This leaves a legacy of defective mental health which affects the ability of the individual to act flexibly in different situations, explains Nils Bergman.
In the first 8 weeks of life, skin-to-skin contact is the most important stimulant for the development of the brain.  Nils Bergman says this is an essential requirement if the fundamental structures of the brain are to be developed in a healthy way.  After this requirement, the most important stimuli that the brain needs for normal development are eye contact, and the physical need to be carried by the parents.  Sometimes babies have to go through painful procedures or stressful situations, and at such times it is even more important for the baby to have skin contact with the mother.
“When my own children were small, and had middle-ear infections, they slept best if they were allowed to lie on my chest.  I’m sure that was good for them in several ways”, Nils Bergman says. “What we experience during birth and the following weeks, affects us for the rest of our lives.  Nowadays we are bringing up children in a manner which is essentially pathological.”
In Sweden one often hears the advice given that babies be put down to lie on the floor in order to develop their back muscles.  Nils Bergman emphasises, “What is commonly done is not necessarily normal, or what should be done”.  A baby who is carried, develops in a very different way from a baby who is left lying down.  The physical differences relating to where the baby is placed, are not in or of themselves of primary importance, he says, it is the final outcome, optimal brain development resulting from being carried by the parents, that matters.
Nils Bergman bases his reasoning on a review of Allan Schore’s research in the Infant Mental Health Journal, 2001, and he compares this with the manner in which we care for our newborns in the field of Western neonatology today.  He states that practically all of us who have been born and have grown up in the Western World in the last decades, have been prevented from reaching our full potential.
Mothers  need support.
Women today have lost their mothering instincts because they have inherited inappropriate behaviours from their mothers.  They need support in order to rediscover these instincts.  After that, further support is needed to help empower mothers to act according to these instincts, in a society that does not understand, nor has the cultural memory that is needed.  Support is also needed to help parents maintain uninterrupted and continuous skin-to skin contact with the baby, even if it means that the father or someone else takes over for a while in giving this contact.  Nils Bergman concludes that the need for this support also applies to the pregnancy, the importance of the birth-doula principle and active birth experiences, for optimal outcomes.
The above is condensed and adapted from an article by Marit Olanders, published in Amningsnytt (Breastfeeding News) in Sweden, Dec. 2004   (Translation: Åke and Pat Törngren)
You can find out more about Nils Bergman’s work at his website  HYPERLINK "http://www.kangaroomothercare.com" www.kangaroomothercare.com


QUAND CONSULTER UN OSTÉOPATHE.

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Selon le SFDO (syndique Française des Ostéopaths) Quand consulter un ostéopath est selon les signes suivants:
-Si votre bébé est né prématurément.
-Le cordon ombilical enroulé autour du cou.
-Le crâne déformé par l'utilisation de forceps ou de spatules.
-s'il a été saisi par les pieds et suspendu la tête en bas (élongation rapide qui a des incidences sur le rachis)
-s'il régurgite, dort peu, pleure en permanence.
-A une respiration bruyante.
-Des difficultés à s'alimenter.
-Se cambre en arrière durant la tétée.
-A des coliques, des signes de nervosité d'hyper tonicité ou d'apathie.
-A des otites ou des rhinites a répétition-des signes de torticolis congénital.
-Un strabisme.

RÉSUMÉ DES EFFETS DE LA PRESCRIPTION DÈS LA MATERNITÉ DE «BOUTS DE SEINS ARTIFICIELS» EN CAS DE DIFFICULTÉS D’ALLAITEMENT CHEZ DES NOUVEAU-NÉS À TERME.

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​Les effets de la prescription dès la maternité de «bouts de seins artificiels» en cas de difficultés d’allaitement chez des nouveau-nés à terme

RÉSUMÉ

L’utilisation des bouts de seins artificiels en maternité est aujourd’hui une pratique aussi répandue que peu évaluée.

Cette étude d’observation prospective non randomisée a été réalisée dans une maternité de CHU auprès de bébés à terme présentant des difficultés d’allaitement et suivis jusqu’à un mois post-partum.

L’objet de cette étude a consisté à corréler différents facteurs pour vérifier si l’utilisation des bouts de seins dès la maternité est juste un marqueur de difficultés d’allaitement ou si elle induit un retard de reprise du poids de naissance des bébés.

Dans notre étude, la perte de poids par rapport au poids de naissance entre les bébés avec bouts de seins  et sans bouts de seins est déjà significativement plus importante dès le séjour en maternité : 42% des nouveau-nés avec bouts de seins ont une perte de poids excessive ≥10% du poids de naissance, versus 4% pour les bébés sans bouts de seins (OR = 15,2). L’écart de prise de poids va encore se creuser au cours du premier mois entre les deux groupes,  cela de manière statistiquement très significative :

A j10, 84% des bébés avec bouts de seins n’ont pas repris leur poids de naissance, versus 41% pour ceux sans bouts de seins (p<0,01).

A j15, 63% des bébés avec bouts de seins n’ont toujours pas repris leur poids de naissance, versus 9% pour ceux sans bouts de seins (p<0,001).

L’analyse des résultats par régression logistique a permis de déterminer que n’intervient dans les résultats que la présence / absence des bouts de seins.

Notre étude démontre donc que l’utilisation des bouts de seins artificiels a une incidence sur la reprise de poids des bébés et n’est donc pas une pratique anodine en maternité. Les bouts de seins artificiels ne devraient pas être employés en premier recours mais uniquement après avoir épuisé toutes les autres pratiques alternatives.


BÉBÉ - L'ALLAITEMENT RENDRAIT PLUS INTELLIGENT

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http://www.francesoir.fr/societe/2007/11/08/bebe-l-allaitement-rendrait-plus-intelligent.html
Bébé - L'allaitement rendrait plus intelligent
Plutôt le sein que le biberon.
Alexandra Gonzalez, le jeudi 8 novembre 2007 à 05:00


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Les enfants nourris au sein ont un quotient intellectuel (QI) plus élevé que ceux nourris au lait maternisé. C’est en tout cas ce qu’affirme une étude anglo-saxonne publiée lundi.
Si l’allaitement maternel peut avoir un effet positif sur le développement du QI, l’étude révèle cependant que cet effet dépendrait d’au moins un facteur génétique. Ainsi, un bébé allaité par sa mère a un QI supérieur de 6,8 points à celui d’un bébé non nourri au sein, à la seule condition que l’enfant porte une version particulière du gène FADS2. Sans cette version du gène, pas d’augmentation de QI. Autrement dit, le développement du cerveau des nourrissons dépend à la fois de l’inné (facteur génétique) et de l’acquis (allaitement maternel notamment).
 
Riez maintenant !
L’allaitement maternel a aussi d’autres vertus cachées. Une étude japonaise vient en effet de montrer que l’allaitement associé au rire des mamans aide le bébé à combattre l’eczéma allergique, grâce à une hormone produite par le rire. Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont installé des mamans devant un classique de Charlie Chaplin, Les Temps modernes, et ont comparé avec d’autres mamans regardant un programme insipide sur la météo. Résultat : les bébés des mamans rieuses ont présenté des réactions allergiques cutanées nettement plus faibles.


France : peut mieux faire
D’après le Dr Virgine Rigourd, pédiatre en réanimation néonatale, des progrès sont encore à faire en France. « Presque 60 % des nouveau-nés sont aujourd’hui allaités à la sortie de la maternité. Soit des chiffres très inférieurs à ceux de nos voisins européens, notamment par rapport à l’Allemagne et à l’Europe du Nord, où le taux d’allaitement frôle les 100 %. Mais c’est surtout dans la durée de l’allaitement que des progrès sont à faire. Un tiers des mères arrêtent au bout d’un mois. »
Edition France Soir du jeudi 8 novembre 2007 n°19639 page 13

ACCOUCHEMENT SUR LA BANQUETTE ARRIÈRE

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Alors, le compte-rendu de l'accouchement... D'une main, parce que je tiens M. de l'autre...
La poche des eaux s'est rompue un samedi matin, mais je n'avais aucune contraction. J'ai appelé la sage-femme, on a convenu de se voir le dimanche matin si rien ne s'était passé, entre temps je devais prendre ma température régulièrement.
Pour elle le délai de sortie du bébé après rupture de la poche des eaux est de 48h. Dimanche, après contrôle, rien à signaler : le bébé bouge, monitoring OK, liquide non teinté, pas de fièvre, mais toujours pas de contraction. Elle m'a filé des granules homéo. 11h, début des contractions, puis ça s'est arrêté, puis ça a repris vers 15h. Vers 17 h, je commençais à avoir honnêtement mal, des contractions toutes les 7 minutes environ, de 50 secondes. Vers 19h, ma température a commencé à augmenter : 37,5, ça va, mais un peu embêtant. A 21h30, la sage-femme est arrivée et là j'avais 38. Elle a regardé où ça en était : dilation 3/4 cm. Zut, zut, zut, c'est vraiment le début, la fièvre commence et la poche des eaux est rompue depuis 36h. Du coup on a décidé de partir à la maternité où j'avais fait mon dossier pour qu'on m'injecte des antibios. Je suis montée avec la sage-femme, J. nous suivait, j'avais mal à hurler et je ne pouvais pas me mettre correctement, j'étais sur la banquette arrière. Je ne voulais plus de bébé, je ne comprenais plus comment j'avais pu vouloir accoucher à la maison, je me voyais arriver à la maternité et demander une anesthésie générale et une césarienne... A 1 km de la maternité j'avais vraiment hyper mal et l'impression que "quelque chose voulait sortir". On s'arrête sur un parking, B. regarde, j'étais allongée sur le siège arrière et me dit que le bébé est là. Il y a eu trois contractions et elle est sortie. Elle me l'a mise contre moi, J. était là, aux premières loges, c'était très chouette, j'étais très émue. J. et B. étaient super concentrés, un peu tendus, j'ai éclaté de rire devant l'incongruité de la situation... Du coup on s'est dit que ça ne valait pas le coup d'aller à la maternité, puisque le seul truc qui pouvait être fait c'était de me mettre des antibios pendant l'accouchement mais c'était un peu tard... On a été à son cabinet (qui est aussi sa maison) qui était plus près que chez nous (1/4 d'heure contre 40 minutes). Arrivés là, J. a coupé le cordon, je me suis levée, j'étais toujours sur le dos dans la voitue, la délivrance a eu lieu chez B.. On s'est couché on a dormi, M. entre nous, c'était magique. Le lendemain B. a fait un prélèvement pour voir si M. n'avait pas d'infection et... si. Direction la maternité, antibio. Et prise de sang pour chercher le germe. Résultat 3 jours après : pas de germe, mais toujours des antibios. On a passé 5 jours à la maternité, M. et moi, et je me suis rendue compte que j'avais vraiment eu raison de vouloir accoucher à la maison : ils m'ont pris la tête. Heureusement que j'étais préparée et plutôt confiante en moi. Bilan :je pense que M. n'avait rien, elle n'a eu aucun signe clinique et elle prenait 100 G tous les jours, les puéricultrices n'en croyaient pas leurs yeux.
Voilà. Et le dimanche suivant, on est sorti et on a fêté sa naissance, comme au Niger : on a tué un mouton, on était 50 à la maison, dans le jardin, il faisait grand beau, ça a été une super fête.
Bilan : je suis super contente de l'accouchement, ça a été un grand moment de bonheur et vraiment convaincue pour accoucher à la maison si tout se présente bien la prochaine fois.
Et depuis J. est à la maison et s'occupe de moi, de M., fait toutes les corvées... et c'est super important parce que toute seule je n'y arriverai pas et je ne sais pas si j'aurai la patience de m'en occuper calmement tout le temps. En tous cas je crois que le baby blues c'est du du au fait que les femmes ne sont pas suffisamment entourées. Moi je n'ai pas eu de moment de dépression, je crois parce que dès que j'avais une baisse de régime et même avant, J. prenait le relais pour s'occuper de M. et je n'avais rien à faire à la maison.
Et sinon on dort tous les trois ensemble, du coup je dors bien et M. aussi elle ne pleure jamais quand elle s'est endormie, c'est-à-dire vers minuit.
Et j'ai pris ma décision, il faut vite que je fasse les papiers. Je prends un congé parental et on part au Niger pour que J. puisse travailler et gagner notre vie et que j'ai une nourrice pour me relayer, une nourrice qui la porte, la berce, ne la laisse pas pleurer et lui parle tamasheq.
Et dès qu'on passe à Paris et que j'ai un peu de temps, je viens te voir. Avec grand plaisir, pour parler bébé, écharpe, allaitement et plein de choses encore ! Bises. F.


ALLERGIES DÉS LA VIE INTRA-UTÉRINE ET POSTE NATALE EN ANGLAIS.
​DORIS RAPP, M.D. - INFANT ALLERGIES
HOW TO RECOGNIZE POTENTIAL ALLERGIES: BEFORE BIRTH ALLERGY SYMPTOMS.

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Something I thought maybe of interest to some of you...

Below is information from an environmental and allergy specialist... Below she gives a timetable for introducing foods to her children .
She has been on TV multiple times dealing with allergies asthma etc.. and she recommends washing fruits and veggies with Basic H.. to rid of toxins.. including your organics.

Doris Rapp, M.D. - Infant Allergies

How to recognize potential allergies:

Before Birth Allergy Symptoms

Excessive hiccupping and kicking in the womb
Large amount of meconium in the newborn's intestines at birth (this is the result of the baby's liver trying to cleanse toxins out of its body as very thick toxic bile)
Newborn covered with vernix caseosa (this waxy coating is the result of the baby's kidneys urinating out concentrated toxins that interact chemically with amniotic fluid when exposed to air)

After Birth Allergy Symptoms

Colicky baby - pulls legs up and screams & cries
Gags or vomits when eating
Constipation or diarrhea
Distended abdomen
Congestion
Runny, stuffy nose
Asthma symptoms and wheezing
Infant bronchitis
Eczema - itchy scaly red rash
Extreme restlessness - needs constant bouncing
Arches back when held - dislikes being held & cuddled
Overly fuzzy
Rarely smiles
Extreme drooling
Extreme perspiring
Extreme bed rocking - bangs head against end of bed
Walks early
Scalded buttocks
Pimples on buttocks
Red ring around rectum
Ear infections
High pulse rate over 140 (Normal at 6 months =110 / 1 year = 100)
How Mother's Diet Affects Baby

Whatever mom eats will affect the baby through breast milk in 2 to 4 hours afterward
If mom has coffee, tea, chocolate, or smokes or has antibiotics .... this can cause diarrhea.
A mother who drinks lots of milk, eats lots of cheese, yogurt and ice cream is likely to cause an allergy to dairy products in her breast fed baby
Guidelines for introducing Solid Food to the Baby

Breast is best for at least one year.

Start solid foods when the first tooth appears.... this is nature's
indicator that the digestive system is ready to introduce foods. This is usually around 6 to 9 months.

It usually takes about 8 months for the antibodies, "IgA - Immune Globulin A" to provide an adequate protective coating in the intestines. If food is introduced before this happens you can cause food sensitivities and intestinal challenges.

Food should be introduced in the following order:
Vegetables
Fruits
Meats
Grains

Make your own baby food from fresh foods.... Do not add spices of any kind

Put forth the extra effort and money to find and purchase organically grown foods.

Do not introduce more than one new food on any day

Start with 1⁄2 teaspoon of each new food and feed at four-hour intervals
(example.... 8 a.m., noon, 4 p.m., 8 p.m.)

Increase each food to 4 teaspoons, which is an average normal amount

If the child shows any reactions... . rash, excessive drooling, excessive gas, etc. (see "After Birth Allergy Symptoms" list above), prepare the following:

1⁄4 teaspoon baking soda in 4 tablespoons of water
put 5 to 10 drops of this solution in babies mouth up to 4 times per day
Example of Solid Food Introduction to Babies

At nine months introduce Vegetables
Day 1, Monday 1/2 teaspoon squash
8 a.m., noon, 4 p.m, 8 p.m.
Day 2, Tuesday 1/2 teaspoon green beans
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Day 3, Wednesday 1/2 teaspoon carrots
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Day 4, Thursday 1/2 teaspoon white potato
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Day 5, Friday 1 teaspoon squash
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Day 6, Saturday 1 teaspoon green beans
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Day 7, Sunday 1 teaspoon carrots
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Day 8, Monday 1 teaspoon white potato
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Day 9, Tuesday 1 1⁄2 teaspoons squash
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Day 10, Wednesday 1 1⁄2 teaspoons green beans "
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Day l1, Thursday 1 1⁄2 teaspoons carrots
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Day 12, Friday 1 1⁄2 teaspoons white potato
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Day 13, Saturday 2 teaspoons squash
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Day 14, Sunday 2 teaspoons green beans
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Day 15, Monday 2 teaspoons carrots
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Day 16, Tuesday 2 teaspoons white potato
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Day 17, Wednesday 3 teaspoons squash
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Day 18, Thursday 3 teaspoons green beans
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Day 19, Friday 3 teaspoons carrots
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Day 20, Saturday 3 teaspoons white potato
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Day 21, Monday 4 teaspoons squash
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Day 22, Tuesday 4 teaspoons green beans
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Day 23, Wednesday 4 teaspoons carrots
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Day 24, Thursday 4 teaspoons white potato
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Day 25, Friday 4 teaspoons squash
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Day 26, Saturday 4 teaspoons green beans
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Day 27, Sunday 4 teaspoons carrots
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Day 28, Monday 4 teaspoons white potato
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At 10 months introduce Fruits
Add one new fruit per day on the four day rotation starting at 1⁄2 teaspoon and going up to 4 teaspoons
The baby will be eating vegetables and fruit now at each meal.... 4 times per day
Suggested starting fruits on a 4-day rotation are apples, peaches, pears, banana

At 11 months introduce Meat
Add one new meat per day on the four day rotation starting at 1⁄2 teaspoon and going up to 4 teaspoons
The baby will be eating 4 times per day
Suggested starting meats on a 4-day rotation are chicken, lamb, beef,
turkey, or tuna

At 12 months introduce Grains
Add one new grain per day on the four day rotation, starting at 1⁄2 teaspoon and going up to 4 teaspoons
The baby will be eating 4 times per day
Suggested starting grains on a 4-day rotation are oats, rice, barley and rye.

Wheat and corn are the last new foods to introduce

Other Tips from Dr. Rapp:

Don't use polyester clothing (it contains formaldehyde)

If you use disposable diapers, make sure they are unscented

Always wash new clothes before they are worn - they are chemically treated

Use only glass bottles

Use cotton bedding

Avoid dampness in the home (to avoid mold)

Use an indoor air purifier

Be aware of formaldehyde in construction materials

Use all toxin-free laundry products

Avoid baby powders with synthetic scents and talc

Avoid toys that contain PCV ... (which turn into dioxin)
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DEFINITION D'ACCOUCHEMENT NORMALE. EMIS PAR LE COLLEGE DES SF ET CELUI DES GYN/OBS.

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De Françoise Bard. Acceuil Naissance.  2 bis rue de la Providence. 75013.
Emis par le college des SF et celui des gynobs!!!

Une naissance normale:

Normale= pas de peri, pas d'induction(par rupture des membranes ou synto ou prostaglandines), pas de cesar, pas de forceps,pas d'episiotomie.
Ils recommandent :

*Une preparation avec des informations pour responsabiliser les couples
*un suivi Une femme Une sage femme.
*Choix du lieu de naissance: domicile, maison de naissance,maternite.
*connaitre sa sage femme avant l'entree en travail
*une sage femme consultante et un obstetricien pour soutenir l'equipe, dans la salle de travail.
*faire connaitre les chiffres de naissances normales, afin que les femme ayant une grossesse normale puisse faire un choix entre les possibilites (domicile,centre de naissance independant, centre de naissance attenant a l'hopital,hopital).
*"suivre" les recommendations evidencebased du NICE quand à:declenchement du travail,monitoring, cesariennes, et soin pendant le travail et l'accouchement en angleterre, irelande et pays de galle.

Ce qui implique:
*une femme une sage femme

*une formation aux sages femmes qui doivent savoir encourager la confiance des femmes dans un tavail qu'elles souhaitent sans intervention technologique!!

* la publication des statistiques des naissances normales
*financer la recherche de ce qui convient le mieux quand a la taille
optimum des unites et les facteurs pour favoriser les naissances normales!!

UN MÉDICAMENT PRESCRIT SYSTÉMATIQUEMENT PEUT COMPROMETTRE L'ALLAITEMENT MAIS UN AUTRE (PLUS DIFFICILE À SE FAIRE PRESCRIT) AUGMENTE LE TAUX DE PROLACTINE, AYANT POUR EFFET DE BOOSTER LA LACTATION. UN HIC DANS LE SYSTÈME?

Bonjour,
Ca fait donc 20 jours que j'ai arêtée la micropillule et prends le dompéridone dans le but de renverser les effets. J'ai commencé à voir les effets au bout de 2 jours, et l'effet maximum au bout de 8/10 jours: j'étais déjà passée en effet de 4 compléments de 60ml à 90ml avant diversification à 3 compléments de 60ml (pas entiérement bus à chaque fois) avec diversification puis avec la dompéridone les compléments sont passés à 2 puis 1 compléments de 60mls, jusqu'au jour où je me suis rendue compte que bébé ne buvait que qq mls, en attendant le réflexe d'éjection puis retirait lui même le fil du DAL et tétait tranquillement jusqu'à s'endormir... ( !)
Je n'osais y croire au début mais si... grâce aux multiples tétées (10/15 par 24H, merci les poussées dentaires !!!!) et au dompéridone, ma lactation arrive enfin à s'adapter aux besoins de mon fils, miracle!!!
J'ai l'impression que la boucle est bouclée, que c'est vraiment une deuxième réelle chance de réussir cet allaitement si mal démarré!

Avec le recul je pense que c'est la prise de la pilule à J15 qui a empéché ma lactation de bien se mettre en place (la prise de poids de bébé a alors stagné et son comportement a changé à partir de là, jamais repu, énervé) suivie de la prise de compléments au bib qui ont espacé les tétées (j'avais noté sur un carnet, j'en étais à 5 voire 6 max en 24H à ce moment là alors que bébé n'avait qu'un mois!)
Finalement ce parcours plus que chaotique aura été bénéfique puisque pour préserver et améliorer cet allaitement j'ai cherché et encore cherché des infos, jusqu'à vous trouver et découvrir que malgré des compléments on pouvait réussir un allaitement long, aller jusqu'au sevrage naturel même!
Alors merci à vous toutes qui m'avez montré la voie, par votre exemple vous m'avez montré que oui c'est possible même si on n'ose pas trop y croire!

Je suis actuellement à 9 capsules par jour, je vais attendre encore un peu puis diminuer progressivement tout en surveillant que bébé est toujours heureux et trouve tout ce qu'il lui faut.

Je sais qu'il y aura des hauts et des bas, mais j'ai quand même l'impression que le plus dur est derrière nous, j'espère que je ne me trompe pas!!

S.T. Maman de C ; 7 mois et... 3 dents! et oui encore une de plus!
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TECHNIQUES POUR RÉUSSIR UNE SOCIÉTÉ GUERRIÈRE

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RECETTE POUR CRÉER UNE SOCIÉTÉ GUERRIÈRE
Le dessein de ces manœuvres étant  de frustrer la nouvelle génération le plus tôt possible afin d’obtenir un peuple agressif et incapable de vivre dans l’intimité.
1- Exclure les femmes de toute connaissance et contrôle de leur corps, et de toute éducation quand c’est possible. Les persuader que cette pratique est pour leur bien.

2- Commencer très tôt. Obliger les femmes à accoucher sur le dos. Pratiquer les accouchements avec le maximum d’interventions médicales, de mutilations, de césariennes, et contraindre les mamans de ne pas crier ni se plaindre. La technique étant de casser la chaîne de séquence hormonale.

3- Séparer les nouveaux nés de leur mère dans les minutes qui suivent la naissance en assurant aux jeunes familles que cette pratique est mieux pour le bébé et la maman.

4- Faire croire à la population que le lait maternel ne vaut à peine plus que le lait des animaux domestiques.

5- Imposer la séparation de corps entre les bébés et leur mère dès la naissance renforce la peur et la frustration pour le nouveau né comme pour sa maman.

6- Commercialiser les outils d’éducation des enfants pour renforcer la séparation de corps. Les lits à barreaux, les poussettes, les landaus, les chaises bébé et les jouets électroniques détournent l’attention de l’enfant des activités de sa mère et renforce la sensation de la mère d'inutilité dans la vie de son enfant.

7- Dévaloriser le rôle d’une mère dans la société. Après l’accouchement sur le dos, les interventions médicales, mutilations et la séparation, s’assurer qu’elle soit isolée de son groupe social. Eduquer la population pour l’exclure de toutes activités adultes durant la période ou elle est accompagnée de son/ses enfant(s).

8- Décourager toute éventuelle participation parentale des hommes en dissuadant toute lecture et en instaurant une image de faiblesse et de féminité au cas des déviation.

9- Publiquement, dénoncer toute notion de désir de s’éduquer au sujet du fonctionnement biologique normale ou de prendre contrôle de son corps, de son accouchement, du désir de proximité corporelle avec son enfant, même la nuit. S’assurer que les femmes vivent et restent isolées les unes des autres.

10- Démunir les mères des moyens financière en cas de maternité. Libérer les hommes de toute notion de responsabilité financière ou pratique surtout si leur progéniture est née en dehors d'un contrat de mariage.

Soyez activistes pour la paix dans le monde ! Eduquez vous au sujet de  votre corps et votre accouchement, allaitez longtemps, portez vos bébés contre votre corps et dormez avec vos bébés et enfants.


IHAB. DÉFI POUR L'ADMINISTRATION FRANÇAISE.

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Parmi les 680 maternités labellisées en Europe, la Grande-Bretagne en compte plus de 60 ; en Suède et Norvège, la quasi totalité des maternités ont le label HAB ; en Belgique, grâce à l'impulsion du gouvernement, 13 maternités ont été labellisées en 2 ans et 15 autres sont prévues en 2010.

Rebecca Young; photo

Prévues en 2010.
Pourquoi est-il si difficile d'évoluer vers ce label, garant de la qualité des soins
pour le bébé ? Selon le Dr Marc Pilliot, pédiatre, Président de la CoFAM «la surmédicalisation de la naissance et les gestes techniques de routine (aspirer, peser, mesurer, faire les soins de cordon, etc.) peuvent être délétères pour le nouveau-né sain à terme, dans la première
heure de vie. Il faut privilégier les comportements innés à la naissance qui facilitent le toucher, la rencontre des regards, l'établissement des liens et le début de l'allaitement maternel ». Le label HAB met l'accent sur toutes ces données scientifiques connues depuis plus de 15 ans.

Le label HAB est fondé sur :

- Une application des bases physiologiques
- Une compréhension des besoins individuels
- Un respect des exigences de soins et de la sécurité médicale
- Un accompagnement éclairé et compétent de l'allaitement maternel
- Une attitude de « bien-traitance », profitable à tous les bébés,
allaités ou non

Ainsi l'Initiative Hôpital Ami des Bébés (IHAB) est un outil extraordinaire pour fédérer et renforcer un service ou un hôpital autour d'un projet médical et humain qui, en plus, est simple et peu coûteux.
Liste des maternités ayant reçu le label HAB en France :

- Hôpital de Lons-le-Saunier (Jura) - Pôle Mère-Enfant
- Maternité de l'hôpital de Cognac (Charente Maritime)
- Maternité de l'hôpital de Saint Affrique (Aveyron)
- Maternité de l'hôpital de Mont de Marsan (Landes)
- Maternité de l'hôpital d'Arcachon (Gironde)
- Maternité de la clinique Adassa à Strasbourg (Alsace)
- Maternité « Les Bluets » à Paris

La maternité de la clinique Saint Jean à Roubaix avait été labellisée en 2002 et 2006, mais a été obligée de fermer en 2007, faute d'obstétriciens.

--
Léa Cohen,
LLL Paris English groupe;
Consultante en Lactation IBCLC

ARTICLE DU FIGARO; ABUS DE CÉSARIENNES EN FRANCE. 07/12/08.

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Abus de césariennes en France
L.S. (lefigaro.fr) avec AFP
07/12/2008 | Mise à jour : 12:16 | Commentaires  16 | Ajouter à ma sélection
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Fineberg/AP
Fineberg/AP Crédits photo : AP
Planification des naissances ou optimisation des coûts de production, les accouchements par césarienne ne sont plus seulement motivés par la santé des mères et des nourrissons.

Trop d'accouchements se font par césarienne en France, selon la Fédération hospitalière de France (FHF). Les césariennes ont ainsi compté l'an dernier pour 20,1% des naissances, contre 10,9% en 1981.

Selon une étude de la FHF, publiée par le Journal du Dimanche, le taux de césariennes des 559 maternités qui prennent en charge les grossesses les moins risquées (niveau 1) en France et pratiquent au moins 200 accouchements par an peut varier entre 9,3% et 43,3%, comme à la clinique de la Muette, dans le 16ème arrondissement de Paris. Au-delà de 30% de césariennes, «on est plus dans la bonne médecine», selon Damien Subtil, chef du pôle obstétrique du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Lille, cité par le journal.

Pour expliquer cette augmentation, la FHF pointe du doigt le secteur privé. Sur les 15 établissements ayant les plus forts taux de césarienne, 12 relèvent du secteur privé, un du parapublic et deux du secteur public. Le taux de césariennes dans les maternités privées qui prennent en charge les grossesses sans risque particulier est même un point de pourcentage au-dessus de celui des hôpitaux publics accueillant les grossesses pathologiques (niveau 3).

Les césariennes seraient ainsi de plus en plus utilisées comme «facteur de l'organisation des naissances» ou pour «optimiser les coûts de production», selon cette étude. Le recours à la césarienne, planifié, permet en effet aux maternités de réduire le nombre de gardes de nuit et de week-end. La volonté de ne pas prendre de risques et de se prémunir contre des procès, ainsi que la multiplication des grossesses tardives expliquent également en partie ce phénomène.

Cette méthode n'est pourtant pas sans risque : les médecins soulignent que les enfants nés par césarienne ont plus de problèmes respiratoires, et notamment d'asthme, que la moyenne. Le taux de mortalité de la mère, en moyenne de un sur dix mille, est aussi 3,5 fois supérieur en cas d'incision de l'abdomen et de l'utérus.


OPTIONS POUR FAIRE BOIRE BÉBÉS ET ENFANTS ALLAITÉS

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​​Options pour faire boire bébés et enfants allaités, sans risque de sevrage précoce du sein.
Si, vous avez le choix.
Les options pour faire boire un enfant sont nombreuses. Les tétines artficielles ne sont bon que pour sevrer l’enfantu du sein.
Nouveau nées – 6m :
Cuillère à café, syringue sans aguille, goblet, capot du biberon, cuillère doseur (fourni avec syrops médicalisé pour enfants), pipette, DAL ou sonde au doigt.
Ou les produits commercialisés ci dessous :
http://www.medela.fr/F/breastfeeding/products/devices.php

Plus tard : Avec assistance tasse, goblet, tasse à bec, verre, bouteille d’eau minérale avec ou sans embout, coquetier.

Lors de l’apprentissage, bébé « suce » l’eau (jamais tenter de verser, laisser lapper ou sucer) puis recrache une bonne quantité.
Ceci est une reflexe normale, et avec assistance, l’enfant apprends à gérer le nouveau façon de boire et tente à saisir le recipient. Laisser saisir le recipent aide l’enfant dans sa sensation d’être entouré, accompagné lors de cette etape et sa sensation de sécurité et confiance en soi.

Rapidement, l’enfant apprends cette nouvelle technique et se mets a gérer « boire à la tasse » tout seul.

Boire ou satisfaire les besoins de succion, ou se consoler par le biais des tétines artificielles n’approte aucun bénéfice pour le développement de coordonation, déxtérité, confiance ou autonomie de l’enfant.
Savoir boire d’une tétine artificielle représente un sevrage de sein uniquement, pas une etape vers l’autonmie, ou fin de dépendance de sa mère. Le besoin de succion, de confort et besoin du vrai lait, est la norme biologique jusque l’âge de l’indépendance immunitaire.
Remplacer le sein par une tétine artificiel n’est qu’une question de remplacer le vrai avec un faux.  Charlotte Yonge. www.allaitementpourtous.com

Témoignage d’Isabelle.
Ma copine utilise les bouteilles d'eau avec un embout pour boire, comme pour les coureurs.  C'est pas mal comme idée.
 
Elle allaite, et comme elle reprend le boulot demain, elle voulait habituer son bébé à boire au biberon (elle est de nouveau enceinte mais c'est pour septembre, donc elle voulait sevrer le 1er) et pas de bol, il n'aime pas le bib. Alors il boit de l'eau dans sa bouteille et il y arrive bien ! Il a 9 mois.
 
Mars 2009
Isabelle


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CORDON OMBILICAL VIDE APRES 45 MIN. TAUX DE FER LIVRE A BEBE 
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POSITIONS D'ALLAITEMENT. PENSE BETE JAPONNAIS 
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CORDON OMBILICAL VIDE APRES 45 MIN. TAUX DE FER LIVRE A BEBE ​
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documentation
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PLAN DE NAISSANCE DE CYNTHIA

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GUIDE CLINIQUE ILCA

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AFFICHE SUZANNE COLSON

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COMMENT CHOISIR UN TRAITEMENT POUR UNE FEMME ALLAITANTE 

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JEUNER EN ACCOUCHANT - DR BOURG

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LA MAMA

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EXPRESSION MANUELLE AVEC LA COMPRESSION DU SEIN, METHODE MARMET 

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ANTENATAL MANUEL EXPRESSION

AJOUTER ICI POADCAST
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INITIATIVE HOPITAL AMI DES BEBES 

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ALL PURPOSE NIPPLE OINTMENT  (APNO)

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POMMADE TOUT USAGE A LA MODE FRANCAISE - DOSSIERS D'ALLAITEMTENT N° 74

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IHAB DIAPORAMA 

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BROCHURE SANS TEXTE - COMITE FEDERAL A L'ALLAITEMENT MATERNEL (BELGIQUE)

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